10 métiers émergents à connaître avant 2035 en sortie d'école de commerce

Découvrez 10 métiers émergents d’ici 2035 pour réussir après une école de commerce et anticiper les secteurs porteurs du futur.

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Intégrer une école de commerce ouvre des portes vers des carrières variées, mais quels métiers seront réellement porteurs d’ici 2035 ? Comment se préparer dès aujourd’hui à des professions encore émergentes ?

Les transformations technologiques, environnementales et sociétales redessinent le paysage professionnel à grande vitesse. Les étudiants et lycéens doivent anticiper, comprendre les tendances et identifier les compétences qui feront la différence.

Entre innovation, digital et enjeux durables, de nouvelles opportunités apparaissent chaque année. Il s’agira pour nous de vous aider à comprendre ce futur professionnel, explorer les métiers qui vont façonner le monde de demain et comprendre quelles trajectoires s’offrent à vous.

Focus sur les carrières émergentes qui feront vibrer les ambitions des jeunes talents.

1. Les métiers liés à la transition écologique dans une école de commerce

La transition écologique redéfinit les entreprises et les carrières. Les diplômés d’école de commerce deviennent des acteurs clés pour concilier performance économique et impact environnemental. Ces métiers émergents offrent des perspectives stimulantes et concrètes pour les étudiants.

1.1. Manager de la stratégie durable

Le manager de la stratégie durable élabore des plans concrets pour réduire l’empreinte carbone des entreprises. Son rôle consiste à intégrer les objectifs environnementaux dans la stratégie globale. Il collabore étroitement avec les directions RSE et les équipes opérationnelles pour transformer les pratiques.

Il accompagne les projets verts à chaque étape, de la conception à la mise en œuvre. La communication interne est essentielle pour que toutes les équipes comprennent les enjeux. Il valorise les indicateurs clés pour mesurer l’efficacité des actions durables.

Les formations en gestion de projets responsables et en leadership durable sont essentielles pour exercer ce métier. Les compétences analytiques et stratégiques permettent de piloter des initiatives complexes.

Le métier demande également de suivre les réglementations et les certifications environnementales. Il implique de travailler avec des partenaires externes et des fournisseurs pour garantir la conformité écologique. Cette expertise ouvre des carrières dans tous les secteurs, de l’industrie à la finance durable.

1.2. Analyste en finance verte

L’analyste en finance verte évalue la durabilité des investissements et oriente les décisions vers des projets responsables. Il joue un rôle central dans l’allocation de fonds éthiques et l’accompagnement des investisseurs.

Il analyse les indicateurs ESG et les risques climatiques. Il travaille sur des rapports détaillés pour les conseils d’administration et les institutions financières. Sa mission est de rendre les investissements plus transparents et durables.

Les compétences financières avancées et la compréhension des enjeux écologiques sont essentielles. Elles permettent de combiner performance économique et impact positif sur la société.

Le secteur est en pleine expansion et attire de plus en plus de jeunes diplômés motivés par les enjeux écologiques. Les opportunités concernent les banques, les fonds d’investissement et les cabinets de conseil spécialisés.

1.3. Consultant en économie circulaire

Le consultant en économie circulaire aide les entreprises à intégrer la réutilisation et le recyclage dans leur chaîne de valeur. Il propose des solutions pour limiter les déchets et optimiser les ressources.

Il intervient sur la conception des produits, les flux logistiques et la gestion des matières premières. Il conseille également sur les partenariats durables et les certifications environnementales.

Les aptitudes en management de projet, en stratégie et en analyse de marché sont indispensables pour réussir. L’innovation et la créativité sont également valorisées dans ce métier.

Ces experts contribuent à une économie plus responsable et à des entreprises plus performantes. Les débouchés sont nombreux, allant de l’industrie à la grande distribution, et le rôle a un impact concret sur l’environnement.

2. Les métiers de la data et de l’intelligence artificielle dans une école de commerce

L’intelligence artificielle et la data révolutionnent les entreprises. Les diplômés capables de comprendre les enjeux stratégiques de la donnée sont très recherchés. Ces profils combinent analyse, management et vision business. Ils deviennent des atouts indispensables pour les organisations souhaitant innover tout en restant compétitives.

2.1. Data business analyst

Le data business analyst transforme la donnée brute en informations exploitables pour la stratégie. Il travaille à l’interface entre les équipes techniques et la direction. Sa mission est de rendre les chiffres compréhensibles et actionnables.

Il établit des tableaux de bord, analyse les tendances et anticipe les besoins du marché. Ses recommandations aident à prendre des décisions éclairées et à orienter les stratégies commerciales.

Les compétences en statistiques, en analyse de marché et en reporting sont essentielles. Ce profil maîtrise les outils de visualisation de données et les logiciels décisionnels.

Son rôle nécessite également une compréhension fine des processus internes et du fonctionnement global de l’entreprise. Il participe à des projets transverses pour aligner la data avec les objectifs de croissance.

2.2. Responsable éthique de l’IA

Le responsable éthique de l’IA veille au respect des principes de transparence, d’équité et de protection des données personnelles. Il s’assure que les solutions technologiques reflètent les valeurs de l’entreprise.

Il établit des chartes éthiques, forme les équipes et analyse l’impact des algorithmes sur les décisions. Son rôle est crucial pour maintenir la confiance des clients et des partenaires. Les connaissances en droit des données, en intelligence artificielle et en gouvernance sont essentielles.

Ce métier exige aussi de la diplomatie et une forte capacité à sensibiliser. Il collabore avec les équipes techniques, les managers et les juristes pour garantir que l’IA soit utilisée de manière responsable et durable. Cette fonction est en pleine expansion dans les entreprises internationales.

2.3. Chef de projet IA et innovation

Le chef de projet IA pilote des initiatives intégrant des technologies intelligentes dans les processus métiers. Il coordonne des équipes pluridisciplinaires pour assurer le succès des projets.

Il définit les objectifs, suit l’avancement et ajuste les priorités en fonction des résultats. Sa vision stratégique permet de maximiser la valeur ajoutée de l’IA pour l’entreprise.

Les compétences en gestion de projet, en innovation et en analyse des systèmes d’information sont indispensables. La capacité à comprendre les besoins du marché et des clients est également cruciale.

Il travaille en lien avec les équipes R&D, marketing et opérationnelles pour assurer une intégration fluide des solutions. Son rôle contribue directement à la compétitivité et à l’innovation durable de l’entreprise.

3. Les métiers de la tech responsable et du numérique inclusif en école de commerce

La transformation numérique ne se limite plus à la technologie. Elle doit s’accompagner d’un impact social positif et d’une responsabilité environnementale. Les diplômés capables de concilier innovation et inclusion numérique deviennent des profils stratégiques.

Ces métiers combinent vision business, maîtrise digitale et engagement sociétal, et ouvrent de nouvelles opportunités dans des secteurs en forte croissance.

3.1. Spécialiste de la transformation numérique durable

Le spécialiste de la transformation numérique durable accompagne les organisations vers des pratiques technologiques responsables. Il réduit l’empreinte écologique tout en maintenant la performance des systèmes d’information.

Il évalue les outils digitaux, propose des solutions éco-efficientes et veille à la durabilité des infrastructures IT. Ses analyses permettent de limiter l’impact environnemental tout en optimisant les coûts.

Ses missions incluent la sensibilisation des équipes, la mise en place de bonnes pratiques numériques et la formation des collaborateurs aux usages responsables. La capacité à aligner la technologie avec les objectifs stratégiques est essentielle.

Ce profil travaille en lien avec les directions IT, RSE et opérationnelles pour intégrer des solutions durables dans tous les processus.

Pour plus d’exemples concrets sur la transformation digitale responsable, nous vous conseillons d’explorer les ressources de GreenIT.

3.2. Responsable inclusion digitale

Le responsable inclusion digitale veille à ce que la technologie soit accessible à tous. Il développe des politiques internes de formation et d’égalité des chances, favorisant l’accès aux outils numériques.

Il analyse les besoins des collaborateurs et conçoit des programmes adaptés pour réduire les écarts de compétences. Sa mission contribue à une culture d’entreprise inclusive et moderne.

Les compétences clés comprennent la gestion de projets digitaux, la pédagogie et une excellente compréhension des technologies accessibles. Ce rôle demande aussi de la créativité pour imaginer des solutions innovantes.

Il collabore avec les équipes RH, IT et communication pour mettre en place des actions concrètes. Selon les analystes de Sage.com, l’inclusion numérique est devenue un levier de performance et de cohésion dans les organisations.

3.3. Consultant en innovation sociétale

Le consultant en innovation sociétale accompagne les entreprises dans la conception de produits et services à impact social. Il travaille sur des projets touchant à l’éducation, à la santé connectée ou à l’accès aux services essentiels.

Il identifie les besoins des communautés, propose des solutions adaptées et évalue l’impact social des initiatives. Sa vision stratégique permet de créer de la valeur à la fois économique et sociétale.

Les compétences attendues incluent la gestion de projet, la connaissance des technologies numériques et une forte sensibilité aux enjeux sociaux. Il allie réflexion analytique et approche humaine pour concevoir des solutions durables.

Il intervient auprès des directions innovation et RSE pour aligner les projets avec la mission globale de l’entreprise et créer des solutions utiles pour tous.

4. Les métiers du commerce international de nouvelle génération

Le commerce international évolue rapidement. La digitalisation et la durabilité modifient les pratiques. Les diplômés doivent combiner vision globale et actions locales.

Ces métiers demandent maîtrise des marchés, outils numériques et sens des enjeux sociaux et environnementaux. La capacité à innover et à collaborer avec des équipes multiculturelles est essentielle.

4.1. Business developer international

Le business developer international identifie de nouveaux marchés et adapte les offres aux besoins locaux. Il noue des partenariats durables et construit des relations solides avec les clients.

Il doit maîtriser les outils numériques, la veille stratégique et l’analyse des données pour anticiper les opportunités. Les compétences interculturelles sont indispensables pour comprendre les pratiques commerciales de chaque pays.

Il collabore avec les équipes marketing et commerciales pour concevoir des stratégies adaptées et durables. Ce rôle nécessite aussi de la créativité pour ajuster les offres et optimiser la performance commerciale.

Pour explorer des exemples concrets de business development global, BusinessFrance propose des études de cas inspirantes et actuelles.

4.2. Expert en supply chain responsable

L’expert en supply chain responsable repense les circuits logistiques pour réduire l’empreinte carbone. Il utilise l’IA et la blockchain pour améliorer la traçabilité et la performance des flux.

Il analyse les fournisseurs, optimise les transports et assure la conformité sociale et environnementale de la chaîne d’approvisionnement. La connaissance des réglementations internationales est essentielle pour éviter les risques.

Ce profil travaille en étroite collaboration avec les départements achat, production et RSE. La gestion des ressources et la planification stratégique sont des compétences clés.

Les tendances et innovations dans la logistique durable sont régulièrement mises à jour sur des sites comme Supply Chain Mag. Ces ressources permettent de rester informé sur les pratiques responsables et les nouvelles technologies.

4.3. Responsable export éthique

Le responsable export éthique veille à ce que les échanges internationaux respectent les normes sociales et environnementales. Il s’assure que les produits et partenaires sont conformes aux engagements de l’entreprise.

Il conduit des audits, analyse les risques et propose des mesures correctives pour garantir la transparence et l’intégrité des opérations. La communication avec les partenaires internationaux est essentielle pour instaurer la confiance.

Ce professionnel allie expertise commerciale, connaissance des réglementations et sensibilité aux enjeux durables. Il conseille la direction et forme les équipes aux bonnes pratiques de l’export responsable. Sa mission inclut également l’intégration des objectifs RSE dans la stratégie commerciale.

5. Les métiers de l’expérience client augmentée dans une école de commerce

L’expérience client évolue à grande vitesse. Les technologies immersives et la personnalisation avancée redéfinissent les interactions.

Les diplômés d’une école de commerce peuvent exploiter ces innovations pour créer des liens forts avec les consommateurs. Comprendre les comportements, analyser les données et anticiper les besoins devient essentiel.

5.1. Responsable expérience immersive

Le responsable expérience immersive conçoit des univers virtuels pour rapprocher la marque des clients. Il utilise la réalité augmentée, le métavers et les expériences interactives. Ces outils permettent de créer des moments mémorables et engageants pour le public.

Il collabore avec les équipes marketing et communication pour aligner la créativité et les objectifs commerciaux. Chaque projet nécessite une veille technologique constante pour intégrer les dernières innovations. Ce professionnel analyse les retours utilisateurs et ajuste les expériences pour améliorer l’impact.

La satisfaction client et l’engagement deviennent des indicateurs clés de réussite. Il coordonne également la formation des équipes internes à ces technologies immersives. Cela assure une utilisation optimale et homogène des outils numériques.

Pour s’inspirer de projets immersifs concrets, MarketingDive propose des études de cas et tendances à suivre.

5.2. Chef de projet CRM intelligent

Le chef de projet CRM intelligent exploite l’IA pour anticiper les comportements d’achat. Il segmente les clients et personnalise les interactions selon les profils. Son rôle combine marketing, analyse de données et stratégie digitale.

Il définit des parcours clients cohérents sur tous les canaux numériques. L’objectif est de fidéliser et d’augmenter l’engagement. Chaque décision repose sur des données fiables et des analyses précises.

Ce professionnel collabore avec les équipes techniques et commerciales pour intégrer le CRM dans les processus existants. Il assure la cohérence et l’efficacité des campagnes marketing.

5.3. Analyste de parcours utilisateur

L’analyste de parcours utilisateur observe les comportements sur sites et applications. Il identifie les points de friction et propose des améliorations concrètes. L’objectif est de rendre l’expérience simple, fluide et engageante.

Il collabore avec les équipes UX, marketing et développement pour optimiser les interfaces digitales. Chaque ajustement est testé pour garantir l’efficacité des modifications.

Ce professionnel exploite les outils analytiques et suit les métriques clés de l’expérience utilisateur. Les retours clients et les tests A/B orientent ses recommandations. Il participe aussi à la définition des contenus et parcours multicanaux. L’expérience doit être homogène, intuitive et centrée sur le client.

6. Les métiers de la communication et de la marque à impact positif

La communication des entreprises évolue rapidement. Les marques cherchent à incarner des valeurs fortes et crédibles. Les diplômés d’une école de commerce peuvent jouer un rôle clé en combinant stratégie, éthique et impact social.

Ils doivent savoir raconter des histoires qui engagent et créent de la confiance. Les outils digitaux et les réseaux sociaux deviennent des leviers incontournables pour toucher le public et renforcer sa réputation.

6.1. Brand strategist responsable

Le brand strategist responsable élabore des stratégies alignées sur des valeurs éthiques et environnementales. Il analyse le marché et la perception des consommateurs pour ajuster la communication. Sa mission est de créer une identité cohérente et crédible.

Il travaille étroitement avec les équipes marketing et créatives pour concevoir des campagnes engageantes. Les choix graphiques et les messages doivent refléter l’ADN de la marque. Chaque décision vise à renforcer la confiance des clients et des partenaires.

Ce professionnel suit les indicateurs de performance de la marque pour évaluer l’impact de ses actions. Il ajuste les stratégies selon les retours et tendances du marché. L’objectif est de bâtir une réputation solide sur le long terme. Il intègre également les outils digitaux pour optimiser la visibilité en ligne et l’engagement des communautés.

6.2. Expert en communication d’influence

L’expert en communication d’influence crée des récits authentiques avec des créateurs de contenu engagés. Chaque collaboration vise à transmettre des valeurs crédibles et pertinentes. Les messages doivent être cohérents sur tous les canaux.

Il sélectionne les partenaires et influenceurs selon leur alignement avec la stratégie de marque. La transparence et l’authenticité sont au cœur de chaque campagne. Les contenus sont analysés pour mesurer leur portée et leur impact.

Ce professionnel suit les tendances digitales et les nouvelles plateformes pour rester efficace. Les réseaux sociaux et les médias digitaux sont des outils stratégiques dans son travail quotidien. Il évalue également le retour sur engagement et l’influence sur la perception de la marque.

6.3. Responsable réputation et engagement

Le responsable réputation et engagement mesure l’impact social d’une marque. Il pilote les actions internes et externes pour renforcer la confiance des communautés. Chaque initiative vise à aligner l’image avec les valeurs de l’entreprise.

Il coordonne les équipes internes et les partenaires externes pour assurer cohérence et pertinence. La communication de crise et la veille médiatique font partie de ses missions quotidiennes. Ce professionnel utilise les indicateurs d’engagement et de satisfaction pour ajuster ses actions.

Les retours clients et collaborateurs sont analysés pour optimiser la stratégie. Il met en place des programmes d’engagement responsables et durables. L’objectif est de créer une marque perçue comme crédible et engagée sur le long terme.

7. Les métiers de l’entrepreneuriat et de l’innovation sociale

L’esprit entrepreneurial s’impose de plus en plus dans une école de commerce. Les jeunes diplômés sont encouragés à créer des projets porteurs de sens. L’innovation sociale devient un levier pour transformer la société tout en développant des entreprises performantes.

La créativité, l’agilité et l’empathie sont des qualités essentielles pour réussir. Les programmes actuels proposent des outils pratiques pour tester des idées et structurer des modèles économiques responsables. La mission est claire : conjuguer impact positif et viabilité financière.

7.1. Fondateur de start-up à impact

Le fondateur de start-up à impact développe des solutions innovantes pour répondre à des enjeux sociaux et environnementaux. Il analyse les besoins du marché et adapte ses produits pour maximiser l’effet positif.

Sa mission combine rentabilité et responsabilité, un équilibre difficile mais essentiel. Il coordonne les équipes pluridisciplinaires pour concrétiser ses idées. La gestion des ressources humaines et financières est un aspect clé de son rôle.

Chaque décision est guidée par la vision et les valeurs de l’entreprise. Ce professionnel mesure l’impact social de ses initiatives à l’aide d’indicateurs précis. Les retours des bénéficiaires et clients permettent d’ajuster les stratégies.

L’itération rapide est un avantage dans cet environnement dynamique. Il explore également les outils numériques pour amplifier la portée de ses solutions.

Pour approfondir les modèles de start-up à impact, Les Echos Start propose des exemples concrets et inspirants.

7.2. Directeur d’incubateur ou d’accélérateur

Le directeur d’incubateur accompagne les jeunes entrepreneurs dans toutes les phases de leur projet. Il offre mentorat, réseau et accès au financement. Son rôle est de créer un écosystème favorable à l’émergence d’initiatives innovantes.

Il sélectionne les projets avec un potentiel à la fois économique et social. La mise en relation avec des experts et partenaires industriels est stratégique. Chaque start-up bénéficie d’un suivi personnalisé et concret.

Ce professionnel conçoit des programmes d’accompagnement adaptés aux besoins spécifiques de chaque entrepreneur. Les ateliers, formations et événements renforcent les compétences et la visibilité.

Il veille à ce que les projets respectent les standards de durabilité et d’éthique. Il utilise également les plateformes digitales pour favoriser la collaboration et le partage de ressources.

7.3. Responsable innovation sociale

Le responsable innovation sociale intègre les objectifs de développement durable dans la stratégie globale de l’entreprise. Il identifie des opportunités pour améliorer l’impact social des produits et services. Sa mission est de transformer la valeur sociale en moteur de croissance.

Il coordonne des projets transverses avec les équipes marketing, RSE et opérationnelles. Chaque initiative est évaluée selon des indicateurs d’efficacité sociale et environnementale. L’objectif est de maximiser l’impact tout en restant rentable.

Ce professionnel conçoit des partenariats avec des acteurs publics ou associatifs pour renforcer la portée de ses actions. Les collaborations externes apportent expertise, crédibilité et ressources supplémentaires. La dimension humaine et la communication sont centrales.

Il suit également les tendances internationales en matière d’innovation responsable et sociale. L’anticipation des besoins sociétaux et la veille stratégique sont essentielles pour rester pertinent.

Découvrez à présent, les nouvelles attentes des recruteurs en 2025.

En résumé…

Se préparer aux métiers de demain demande de l’anticipation, de la curiosité et une compréhension fine des évolutions économiques et technologiques. Les jeunes diplômés doivent développer des compétences transversales, alliant créativité, maîtrise des outils numériques et capacité à collaborer dans des environnements diversifiés.

Une école de commerce moderne accompagne ces apprentissages, offrant des expériences concrètes et un réseau solide pour explorer de nouvelles voies professionnelles. Les métiers émergents exigent d’être agiles, innovants et capables de s’adapter rapidement aux changements du marché.

S’investir dès maintenant dans la construction de ces compétences permet de se positionner comme un acteur compétent et attractif dans le monde professionnel. Il est préférable de se former, de tester, de créer et d’oser, pour transformer les ambitions en trajectoires concrètes et durables vers l’avenir.

Contactez l’école sans plus attendre pour explorer les métiers émergents de demain et préparer dès maintenant votre réussite après votre école de commerce.

Ecole de commerce Paris - ICD Business School

12 Rue Alexandre Parodi, 75010 Paris

01 80 97 66 00

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