Entreprendre pendant ses études en école de commerce : rêve ou réalité ?
Entreprendre quand on est étudiant en école de commerce, est-ce un rêve inaccessible ou une réalité à portée de main ? Comment concilier études exigeantes et ambitions entrepreneuriales sans perdre pied ?

Créer sa start-up pendant sa formation, c’est possible, mais cela demande énergie, organisation et bons conseils. Ce chemin, souvent semé d’embûches, est aussi une formidable aventure qui forge le caractère et ouvre des portes inattendues.
Nous vous éclairons sur comment transformer cette ambition en succès concret.
1. Comprendre le potentiel d’une école de commerce pour entreprendre
Beaucoup d’étudiants rêvent de monter leur startup. Certains y pensent dès la première année. D’autres franchissent le pas en cours de cursus. Mais une chose est sûre : l’école de commerce peut devenir un véritable tremplin. Elle ne se limite pas à l’enseignement académique. Elle encourage l’initiative, soutient les idées, et ouvre des portes concrètes vers l’entrepreneuriat.
1.1. Un environnement pensé pour stimuler l’innovation
Les écoles développent des lieux dédiés à la création. Incubateurs, fablabs, labs d’innovation : ces espaces permettent de passer d’une idée à un projet réel. Les étudiants y trouvent des outils, du mentorat, et un accompagnement structuré.
Ils peuvent prototyper, tester, corriger, sans craindre l’échec. C’est une culture de l’essai, du rebond, qui se construit. Ce cadre favorise l’esprit startup. On y croise d’autres créateurs, des experts du digital, des développeurs, des investisseurs.
L’émulation est forte. Le quotidien devient un laboratoire vivant. Travailler sur son projet entre deux cours ou pendant une semaine dédiée devient courant. L’innovation ne reste pas théorique, elle devient action. Certaines écoles vont encore plus loin. Elles s’associent à des dispositifs nationaux.
Le programme Pépite, piloté par le ministère de l’Enseignement supérieur, en est un exemple fort. Il donne un cadre officiel au statut d’étudiant-entrepreneur, avec des avantages concrets pour créer sans quitter l’école.
1.2. Un accès direct aux ressources utiles à l’entrepreneuriat
Quand on lance un projet, le savoir ne suffit pas. Il faut un réseau, des conseils, des financements. C’est là que les écoles jouent un rôle clé. Elles organisent régulièrement des événements : hackathons, challenges innovation, rencontres avec des alumni entrepreneurs.
Ce contact direct avec l’écosystème rend les choses plus simples. On ne reste pas seul face à son idée. Les enseignants aussi s’impliquent. Certains sont eux-mêmes créateurs d’entreprise.
D’autres ont une vraie sensibilité au monde des startups. Ils deviennent des relais précieux pour structurer un business model, comprendre un marché ou affiner une stratégie. Le cadre reste académique, mais la posture devient entrepreneuriale.
Les écoles proposent des cursus qui lient formation et accompagnement. Il combine des modules pratiques, du coaching personnalisé et un accès à un incubateur interne. C’est une immersion totale dans la création d’entreprise, avec le soutien de l’école à chaque étape.
1.3. Un terrain idéal pour tester son projet sans pression
L’un des plus grands avantages d’une école, c’est la liberté d’essayer. Ici, pas de pression économique immédiate. Pas de risque personnel majeur. C’est l’endroit parfait pour expérimenter, apprendre de ses erreurs et ajuster son idée.
On peut lancer une version test de son service, organiser une étude de marché auprès de ses camarades, ou même vendre ses premiers produits sur le campus. Cette phase d’apprentissage par l’action est essentielle.
Elle permet de mieux comprendre son client, d’évaluer la demande, et de voir si l’idée tient la route. Chaque retour, même critique, est une source d’amélioration. On progresse vite. On apprend à pivoter, à affiner sa proposition de valeur. Le projet gagne en maturité. Les écoles encouragent ces initiatives.
Certaines intègrent même ces projets dans la validation du diplôme. Cela donne du poids au travail fourni et motive les étudiants à aller jusqu’au bout. L’approche reste bienveillante. On valorise la prise d’initiative. L’échec n’est pas un frein, il est vu comme une étape. Cette posture est fondamentale dans tout parcours entrepreneurial.
2. Équilibrer études en école de commerce et création d’entreprise
Se lancer dans l’entrepreneuriat tout en poursuivant des études supérieures demande de l’organisation. Ce défi attire pourtant de plus en plus d’étudiants en école de commerce. Il ne s’agit pas de tout sacrifier, mais de trouver un rythme qui respecte les deux dynamiques. Le bon équilibre se construit avec méthode, appuis concrets et clarté d’objectifs.
2.1. Gérer son temps dans une école de commerce sans sacrifier son projet
Conciliation ne signifie pas surcharge. Pour un étudiant entrepreneur, organiser ses journées reste essentiel. Il ne s’agit pas d’être partout à la fois, mais de choisir les bons moments. Une école de commerce offre généralement une certaine flexibilité, notamment dans les emplois du temps, permettant de dégager des plages fixes pour avancer son projet.
Certains étudiants optent pour des créneaux en soirée, d’autres réservent leurs week-ends. Le plus important reste la régularité. Mieux vaut deux heures bien ciblées que dix heures improvisées. Ce fonctionnement demande une vraie rigueur, mais évite le stress d’un emploi du temps surchargé.
Des outils simples aident à structurer la semaine : Trello, Notion ou encore Google Calendar. Ils permettent de visualiser les tâches de cours et celles liées à la start-up.
Pour aller plus loin, des méthodes comme la matrice d’Eisenhower ou la technique Pomodoro peuvent optimiser les priorités.
2.2. Tirer parti des événements organisés par l’école de commerce
Les temps forts rythment la vie d’un campus. Concours de pitch, hackathons, projets transversaux : ces moments sont bien plus que des animations. Ils permettent de faire avancer son projet tout en bénéficiant de retours et de visibilité.
Un concours de business plan peut servir à clarifier une idée. Un hackathon peut tester une version bêta ou une fonctionnalité innovante. Ces formats encouragent aussi l’émulation collective.
On rencontre d’autres profils, on apprend à défendre une vision, on affine son discours. Tout cela donne de l’élan au projet, sans avoir à sortir du cadre scolaire. L’école devient un levier, pas une contrainte.
Les programmes entrepreneuriaux se multiplient dans les grandes écoles. Ils permettent aux étudiants de travailler en équipe sur des cas réels. Ce type de format reste parfait pour les profils start-up qui cherchent à grandir en action.
2.3. Valider des crédits tout en développant une idée d’entreprise
Certaines écoles de commerce vont encore plus loin en intégrant directement l’entrepreneuriat dans leurs parcours pédagogiques. Les modules en innovation, business development ou lean start-up offrent des espaces pour travailler sur son idée tout en obtenant des ECTS. C’est un moyen de concilier les deux mondes sans avoir à choisir.
Ces unités permettent de documenter un projet, de le présenter devant des jurys, de construire une étude de marché ou encore de réaliser un MVP. Cela rend l’expérience concrète, utile, et formatrice.
Au-delà des crédits, ce dispositif permet aussi d’obtenir des conseils réguliers d’enseignants ou de professionnels. Cela sécurise le parcours, limite les erreurs et encourage la persévérance. On apprend à itérer tout en avançant sur son cursus, sans perdre en qualité ni en énergie.
3. Se faire accompagner efficacement dans une école de commerce
Être bien entouré change tout lorsqu’on décide de créer une entreprise pendant ses études. En France, les dispositifs d'accompagnement se sont beaucoup professionnalisés dans les grandes écoles.
Aujourd’hui, un étudiant peut valider son cursus, tout en lançant une start-up de manière structurée. Chaque parcours reste unique. Mais s'appuyer sur les bons leviers peut faire la différence.
- Bénéficier d’un incubateur en école de commerce
Les incubateurs étudiants sont devenus un vrai tremplin. Intégrés dans la plupart des écoles de commerce, ils offrent un cadre structurant. L’étudiant y développe son projet sans être isolé.
Ces structures proposent des ressources précieuses : suivi régulier, conseils personnalisés, mise en réseau avec des investisseurs. L’accompagnement s’adapte au niveau de maturité du projet. C’est un gain de temps considérable pour tester une idée, structurer un modèle économique et apprendre à pivoter.
- Avancer avec l’aide de coachs et mentors spécialisés
Créer une entreprise en école de commerce demande du recul. Savoir à qui parler, à quel moment, fait souvent la différence. C’est là que les mentors et coachs jouent un rôle clé.
Les écoles intègrent aujourd’hui dans leur pédagogie des experts issus du monde entrepreneurial. Ce sont des fondateurs, des anciens étudiants ou des professionnels de l’accompagnement. Ils connaissent les codes, les étapes critiques, les erreurs fréquentes. Leur retour d’expérience rassure et fait gagner en confiance.
Ces mentors guident aussi dans la stratégie, le business model, la posture du porteur de projet. Ils posent les bonnes questions, aident à affiner la vision. Des plateformes comme Les Premières proposent également des programmes de mentoring accessibles aux étudiants, avec une vraie culture de la transmission.
- Se former avec des ateliers et bootcamps immersifs
Tout ne se joue pas en cours. L’entrepreneuriat se vit sur le terrain. C’est pourquoi les écoles de commerce multiplient les formats courts, pratiques et immersifs.
Les bootcamps, hackathons et ateliers intensifs permettent de prototyper une idée rapidement. En quelques jours, les étudiants passent de la théorie à l’action. Ils apprennent à tester un marché, créer un MVP, présenter leur pitch devant un jury.
Ces formats courts s’intègrent souvent dans le calendrier pédagogique. Ils ne remplacent pas les cours classiques mais viennent les compléter. Ils renforcent l’autonomie, la créativité, la capacité à travailler en équipe.
Participer à ces sessions crée une vraie dynamique. On y rencontre d’autres étudiants motivés, des professionnels bienveillants, des retours constructifs. C’est aussi l’occasion d’accélérer son projet sans sortir du cadre académique.
4. Exploiter le réseau de sa école de commerce pour entreprendre
Une école de commerce n’est pas seulement un lieu d’enseignement. C’est un écosystème riche, structuré autour de relations humaines, d’expériences partagées et d’opportunités concrètes. Pour entreprendre, ce réseau devient un levier puissant, souvent sous-estimé par les étudiants en début de parcours.
En s’appuyant sur les bonnes ressources au bon moment, on accélère son projet, on gagne en clarté, et surtout, on évite d’avancer seul. Voici trois dimensions clés à explorer.
4.1. Tirer parti des alumni entrepreneurs de son école de commerce
Les anciens élèves sont souvent les premiers mentors accessibles. Ils sont passés par les mêmes bancs, ont souvent connu les mêmes doutes, et peuvent apporter des retours d’expérience honnêtes. En France, de nombreux alumni ont lancé des projets à succès, dans l’immobilier, la tech ou la finance.
Discuter avec eux permet de clarifier ses idées. Ils partagent des conseils, orientent vers des financements ou des aides disponibles, et peuvent même ouvrir des portes. Un échange informel peut déboucher sur un mentorat ou une collaboration.
Certaines plateformes comme France Alumni recensent des anciens dans l’entrepreneuriat. En parallèle, de nombreuses écoles organisent des tables rondes ou des afterworks pour faciliter la mise en relation. Ce type de contact humain fait souvent toute la différence dans la phase de lancement.
4.2. S’appuyer sur les partenariats avec des start‑ups et entreprises innovantes
Une école de commerce moderne développe des liens forts avec l’écosystème entrepreneurial. Ces partenariats donnent accès à des ressources que peu d’étudiants pourraient mobiliser seuls : incubateurs, espaces de coworking, experts en financement, ou encore juristes spécialisés en création d’entreprise.
Ces synergies permettent de confronter ses idées au réel. Participer à un projet avec une start-up, intégrer un programme d’accélération ou bénéficier d’un coaching ciblé donne un vrai coup d’accélérateur. Le projet sort du cadre scolaire pour entrer dans un environnement de marché. Ce type de partenariat donne un accès direct à un réseau entrepreneurial structuré, prêt à accueillir les projets étudiants les plus prometteurs.
4.3. Intégrer une communauté étudiante engagée dans l’entrepreneuriat
Créer un projet à plusieurs rend l’expérience plus dynamique et plus solide. Les clubs d’entrepreneuriat permettent de partager ses idées, d’apprendre à pitcher, de tester des prototypes ou de préparer des concours étudiants.
Ces communautés jouent un rôle clé dans l’émulation collective. Elles favorisent l’entraide, l’esprit critique, et offrent un cadre stimulant pour avancer. Participer à un club, c’est aussi s’exposer au regard des autres, affiner son projet, gagner en confiance.
Certaines initiatives étudiantes débouchent même sur de vraies entreprises, soutenues ensuite par l’école. Ces groupes sont un terrain fertile pour expérimenter, collaborer et se former autrement.
5. Accéder à des ressources concrètes en école de commerce
Étudier en école de commerce, c’est bien plus que suivre des cours. C’est aussi pouvoir s’appuyer sur des ressources solides, indispensables pour concrétiser ses projets entrepreneuriaux. Ces outils, souvent exclusifs aux écoles, facilitent la prise de décision, l’analyse et la mise en œuvre.
5.1. Les bases documentaires spécialisées en école de commerce
Les écoles de commerce mettent à disposition des bases documentaires riches et variées. Ces plateformes offrent un accès privilégié à des études de marché, rapports sectoriels, données financières et analyses économiques. Elles sont une mine d’informations fiables et à jour.
Grâce à ces ressources, les étudiants peuvent bâtir des business plans solides, appuyer leurs stratégies sur des chiffres précis, et comprendre les tendances économiques actuelles. Ces données renforcent la crédibilité des projets, notamment auprès des investisseurs.
Certaines écoles proposent aussi des abonnements à des outils reconnus comme Statista ou Xerfi. Ces supports permettent d’approfondir la recherche et d’acquérir une vision stratégique complète. Apprendre à exploiter ces bases documentaires est une compétence clé, utile bien au-delà des études.
Pour en savoir plus, consultez cet article de L'Etudiant sur la formation pour devenir entrepreneur.
5.2. Les financements internes et externes pour entreprendre en école de commerce
L’accès aux financements est souvent un frein pour les jeunes entrepreneurs. Heureusement, de nombreuses écoles de commerce proposent des aides spécifiques. Il peut s’agir de micro-subventions, de prix d’innovation ou de bourses dédiées aux projets étudiants.
Ces soutiens facilitent les premières étapes : prototypage, tests de marché ou participation à des salons professionnels. Ils permettent aussi de lever les premiers fonds sans avoir à recourir immédiatement à des investisseurs externes.
Par ailleurs, les écoles accompagnent leurs étudiants dans la recherche de financements publics ou privés. Elles orientent vers des dispositifs comme le statut d’étudiant entrepreneur ou des appels à projets nationaux. Elles collaborent aussi avec des incubateurs et accélérateurs qui connectent avec des business angels.
Le portail de la Banque des Territoires est une excellente source pour découvrir les aides disponibles et les dispositifs de financement accessibles aux jeunes porteurs de projet.
5.3. Les formations ciblées pour booster son projet en école de commerce
Les écoles de commerce proposent des formations précises dédiées à l’entrepreneuriat. Ces modules permettent d’apprendre à construire un business model, à gérer la trésorerie, ou encore à élaborer une stratégie marketing efficace.
Souvent animés par des experts et des entrepreneurs, ces cours allient théorie et pratique. Ils incluent des études de cas, des mises en situation, ou des ateliers de pitch. Cette pédagogie dynamique prépare les étudiants à affronter les défis du lancement.
De plus, le digital est au cœur de ces formations. Les compétences en marketing numérique, en gestion de la relation client ou en outils digitaux sont développées dès le début du parcours. Cela donne aux futurs chefs d’entreprise un avantage décisif sur le marché.
Ces formations s’accompagnent souvent de challenges, hackathons ou projets collaboratifs. Ils favorisent l’expérimentation, le travail en équipe, et la créativité. Ils transforment l’école en véritable tremplin pour lancer son projet avec succès.
6. Faire mûrir sa posture d’étudiant-entrepreneur
Devenir entrepreneur pendant ses études est un défi exigeant. Cela demande d’adopter une posture spécifique, qui combine souplesse, réseau et organisation. L’école de commerce joue un rôle central pour accompagner ce développement personnel et professionnel.
6.1. Développer une mentalité agile en école de commerce
Entreprendre, c’est d’abord savoir s’adapter. Les écoles de commerce encouragent cette agilité mentale. Les étudiants apprennent à tester rapidement leurs idées, à analyser les retours, puis à ajuster leur projet sans perdre de temps.
Cette approche favorise la résilience, indispensable face aux obstacles. Plutôt que de s’attacher à un plan rigide, les jeunes entrepreneurs développent la capacité à pivoter. Cela permet de saisir des opportunités imprévues ou de répondre aux besoins du marché en évolution.
Les formations en innovation et gestion de projet intègrent cette notion d’agilité. Elles invitent aussi à adopter une démarche itérative, fondée sur l’expérimentation et le feedback. Cette méthode est un pilier de la réussite entrepreneuriale aujourd’hui.
Pour approfondir, la Fondation Entreprendre met en lumière l’importance de cette agilité dans le parcours des étudiants entrepreneurs.
6.2. Cultiver son réseau en continu dans une école de commerce
Le réseau est une force pour tout entrepreneur. En école de commerce, il est possible d’élargir ses contacts au quotidien. Cela va des autres étudiants aux enseignants, mentors et alumni, jusqu’aux professionnels rencontrés lors d’événements.
Participer aux clubs d’entrepreneuriat, aux ateliers ou aux conférences est un excellent moyen de multiplier ces interactions. Chaque échange peut ouvrir des portes : pour un partenariat, un client potentiel ou un conseil stratégique.
Ce réseautage s’entretient sur la durée. Il demande de la curiosité, de la disponibilité et une vraie volonté d’échanger. Dans ce cadre, les écoles de commerce offrent souvent des plateformes en ligne dédiées pour faciliter ces connexions.
Un article du portail Les Echos Start explique comment ces réseaux impactent positivement le développement des jeunes entrepreneurs.
6.3. Bâtir ses compétences organisationnelles en école de commerce
La double casquette d’étudiant et d’entrepreneur nécessite une organisation rigoureuse. La gestion du temps, la planification et la priorisation deviennent des compétences essentielles.
Les écoles de commerce proposent souvent des ateliers dédiés à la gestion du stress, à la méthode de travail ou à la productivité. Ces formations aident à structurer ses journées et à équilibrer études et projet entrepreneurial.
Ces compétences vont bien au-delà du cadre scolaire. Elles sont fondamentales pour le chef d’entreprise, confronté à de multiples responsabilités et imprévus. Les étudiants qui réussissent à développer cette discipline gagnent en efficacité et en sérénité.
Pour mieux comprendre ces enjeux, Manager GO! offre de nombreuses ressources sur l’organisation personnelle des entrepreneurs.
7. Gagner en visibilité grâce à ses actions en école de commerce
Pour un étudiant entrepreneur, la visibilité est une étape clé. Dans une école de commerce, il existe plusieurs moyens efficaces pour faire connaître son projet tout en renforçant son réseau professionnel. Ces actions permettent aussi de renforcer sa crédibilité et d’ouvrir des portes pour l’avenir.
7.1. Participer aux concours et événements en école de commerce
Les concours de pitch, hackathons ou forums étudiants sont des occasions incontournables pour exposer son projet entrepreneurial. Ces événements rassemblent souvent des professionnels, des investisseurs et des experts, prêts à évaluer les idées nouvelles.
Participer permet de tester son projet face à un public exigeant. Cela aide à améliorer son discours, à affiner son business model et à recueillir des retours constructifs. Ces échanges favorisent l’innovation et encouragent à persévérer.
Au-delà de la compétition, ces événements renforcent la confiance en soi. Ils représentent aussi une belle opportunité pour élargir son réseau et se faire repérer par des partenaires potentiels.
Pour plus d’actualités sur les concours startup en France, nous vous conseillons de consulter régulièrement le site Maddyness.
7.2. Valoriser ses réalisations entrepreneuriales en école de commerce
Il est essentiel de savoir mettre en avant les avancées concrètes de son projet. Cela passe par la collecte de preuves tangibles : premiers clients, chiffres clés, témoignages positifs, partenariats noués. Ces éléments traduisent la traction de la startup ou la validation de son concept.
Une école de commerce offre souvent des formations pour apprendre à structurer ce storytelling entrepreneurial. Valoriser ses succès renforce la crédibilité auprès des investisseurs, banques ou partenaires.
Cela facilite aussi l’accès à des aides internes, comme des subventions, du mentorat ou des ressources spécifiques. Une communication claire sur ses réalisations peut donc ouvrir de nombreuses portes.
7.3. Témoigner de son parcours entrepreneurial en école de commerce
Partager son expérience est une démarche puissante pour se faire connaître et inspirer les autres. Rédiger une interview, écrire un article de blog ou présenter son parcours lors d’un événement étudiant crée un lien avec la communauté.
Ce type de témoignage aide à structurer sa réflexion sur son projet et valorise l’engagement. Il nourrit également la confiance et la légitimité en tant qu’entrepreneur.
Les écoles de commerce mettent souvent à disposition des plateformes ou supports pour relayer ces partages. Cela permet de toucher un public large, y compris au-delà du cercle étudiant. De plus, témoigner peut attirer de nouveaux contacts, mentors ou même clients. C’est un moyen concret de développer son réseau professionnel tout en continuant à apprendre.
Découvrez à présent en quoi ICD fait autant école de commerce que start-up studio.
Pour résumer…
Se lancer dans l’aventure entrepreneuriale pendant ses études, c’est transformer chaque cours, chaque rencontre et chaque projet en tremplin vers la réussite. L’école de commerce devient alors bien plus qu’un lieu d’apprentissage : c’est un véritable incubateur d’idées, un espace où les ambitions prennent forme et où les initiatives se concrétisent.
Les compétences acquises, l’accès à un réseau solide et l’encadrement de professionnels expérimentés permettent de structurer sa vision et de passer de l’idée à l’action avec confiance.
Entre innovation, audace et pragmatisme, les étudiants qui osent entreprendre construisent déjà leur avenir. Ils apprennent à naviguer dans un environnement compétitif tout en affirmant leur identité de futurs leaders. Entreprendre pendant ses études, c’est aussi se donner la liberté d’expérimenter, d’apprendre de ses erreurs et de réussir plus vite.
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