Le Programme Grande École, un cursus prisé des recruteurs
Le choix de votre orientation est crucial. Vous devez opter pour un cursus qui vous permettra de concrétiser vos objectifs professionnels mais qui donne également accès à des débouchés. Et le Programme Grande École (PGE) répond parfaitement à cela ! De niveau Bac+5, il vous prépare de manière professionnalisante à accéder à des postes à responsabilités. Si la crise sanitaire a impacté l’insertion des étudiants sur le marché de l’emploi, les diplômés du PGE de la promotion 2021 ont bénéficié d’une économie redevenue favorable avec des opportunités d’emploi à un niveau d’avant crise. L’ICD Business School vous propose de faire le point sur l’insertion des diplômés grâce à la dernière enquête de la Conférence des Grandes Ecoles.

Un taux d’emploi record depuis 20 ans !
Après deux années de turbulences, les jeunes diplômés des grandes écoles de commerce bénéficient à nouveau d’un contexte favorable à leur employabilité, un point confirmé par Nicolas Glady, président de la commission Aval de la Conférence des grandes écoles (CGE) : « nous sommes clairement aujourd'hui dans un contexte de relance économique favorable à l'emploi, en particulier pour les cadres ».
Selon l’étude « 2021, des recrutements de cadres proches du niveau record d’avant-crise » de l’Apec, l’offre d’emploi pour les cadres s’est redynamisée avec une croissance de 18 % par rapport à 2020, retrouvant ainsi quasiment son niveau d’avant crise. Et ce contexte profite tout particulièrement aux jeunes diplômés de niveau Bac+5 qui arrivent sur le marché du travail (+36 % pour le recrutement de cadres débutants avec moins d’un an d’expérience et +19 % pour ceux avec 1 à 5 années).
On assiste actuellement à un taux d’emploi record, 89,8 %, et ce, depuis plus de 20 ans ! Il a en effet augmenté de 11 points par rapport à l’année précédente tandis que la part des jeunes en recherche d’emploi a chuté de 17,7 % à 8,7 %.
Le contexte économique et le marché de l’emploi sont ainsi redevenus favorables pour les diplômés du Programme Grande École arrivant sur le marché de l’emploi. Anne-Lucie Wack, l’ancienne présidente de la CGE, confirme d’ailleurs cela : « nous pouvons ainsi encore une fois constater à quel point le diplôme des Grandes Écoles est une valeur sûre et un passeport pour l’emploi, même en période de crise exceptionnelle ».
Une insertion plus rapide
Les diplômés 2021 d’un Programme Grande École bénéficient d’une insertion professionnelle optimale, et surtout, rapide. En effet, plus de 8 diplômés sur 10 ont trouvé un emploi en seulement moins de deux mois.
Mieux encore : plus de deux tiers d’entre eux ont signé un contrat avant d’obtenir leur diplôme !
Des emplois plus sécurisés
Grâce à son programme d’excellence et professionnalisant, le PGE permet d’accéder directement à des emplois à responsabilité mais aussi sécurisés. Il faut en effet souligner que 81,8 % des diplômés sont embauchés en CDI et 86,1 % ont le statut de cadre. Là encore, l’étude de la CGE montre que le niveau d’avant-crise a été retrouvé (après un recul de 5,1 points observé en 2021).
Des jeunes diplômés satisfaits
Au-delà de ces chiffres encourageants pour l’employabilité des jeunes diplômés d’une grande école de commerce, il est par ailleurs important de savoir qu’ils sont 84 % à être satisfaits de leur emploi ! L’étude témoigne en effet de l’adéquation des emplois avec les niveaux de qualifications pour 90,1 % des jeunes diplômés.
Focus sur l’alternance, un levier d’employabilité
L’alternance rencontre un franc succès : 718 000 contrats ont été signés en 2021, soit une hausse de 37 % en 1 an. Elle représentait 20,6 % des diplômés en 2021 (contre 18,9 % l’année précédente) et même 36 % des diplômés d'écoles de commerce.
Ce dispositif présente de nombreux avantages et est aujourd’hui considéré comme un formidable tremplin professionnel grâce à son rythme alternant entre école et entreprise. Les recruteurs sont ainsi très sensibles à ces profils qui sont opérationnels dès l’obtention de leur diplôme. D’ailleurs, le taux net d’emploi des alternants moins de 6 mois après l’obtention de leur diplôme est de 90 % ! De même, leur part en activité professionnelle est de 74,7 % contre 73,3 % pour l’ensemble des diplômés.
La fin de l’impact négatif de la crise sur les salaires
L’étude de la CGE permet de constater que les salaires des jeunes diplômés ont également retrouvé leur niveau d’avant crise, avec un salaire brut annuel moyen de 36 551 euros (hors primes), soit une hausse de 3,1 % en un an. Une tendance haussière constante est en effet remarquée.
La guerre des talents, un facteur qui favorise la tendance haussière des salaires
Le nouveau président de la CGE, Laurent Champaney, fait part dans l’étude d’un « très gros manque de compétences » dans de multiples secteurs (assurance, banque, conseil, industrie…). C’est pourquoi, selon lui, les recruteurs « sont prêts à tout pour capter des jeunes », à commencer par des politiques salariales attractives.
La tendance haussière des salaires s’explique ainsi notamment par « ce stress de recrutement » et « cela va s'accélérer » selon lui.
L’ICD Business School, aux côtés de ses apprenants
Le baromètre de la CGE met en avant les nombreuses mesures mises en place par les Grandes écoles afin de pallier les effets de la crise. Elles ont su faire preuve d’agilité, de réactivité et de résilience afin que les étudiants puissent poursuivre efficacement leur formation.
C’est notamment le cas de l’ICD Business School qui a tout mis en œuvre pour ses étudiants, dont ceux de son Programme Grande Ecole. Les équipes se sont en effet mobilisées afin de proposer des cours en ligne à l’aide d’outils digitaux et collaboratifs mais aussi pour accompagner chaque étudiant dans cette période complexe et anxiogène (un suivi psychologique personnalisé a en outre été instauré).
De même, des job dating virtuels ont été organisés afin de maintenir les stages et l’alternance tandis qu’un accompagnement individuel vers l’emploi était proposé par le service Relation Entreprises et le programme « Start me up Career ».
Cette mobilisation de chacun a ainsi permis aux étudiants de poursuivre leur Programme Grande École, de sorte à être opérationnel dès l’obtention de leur diplôme !